Je me remets peu à peu de la perte de mes compagnons (eh oui, si seulement il n'y avait que la musique, non! Le lendemain je me suis rendue compte qu'un autre manquait à l'appel : mon fidèle couteau suisse...) et j'essaye d'aller de l'avant, même si c'est difficile. Donc je visite les quelques villes qui me séparent de la ferme Bosque de Paz où je vais travailler. Ici, escale à Ibarra : grande ville très vivante et très peu touristique (je suis seule dans mon hotel et je n'ai pas encore croisé un seul touriste...), vivement demain à la découverte de la nature équatorienne.